30 mai 2007

Le cuistot de la semaine, le douanier et la taxe de 400 €

C'est monsieur J'ai-les-boules et on le comprend ! En tout cas, s'il ne l'est pas, il y a de quoi l'être. Comme l'a si bien fait remarquer Lolo : l'année dernière pour l'Irlande, le Douanier a perdu 400 € pour avoir râté le voyage because pas de passeport, ni de carte d'identité en règle. Cette année, pour l'Écosse, bien que en règle, et du voyage, il a quand même perdu 400 € ! Sauf que le saint-esprit de l'opération n'était pas le même...
Pourtant, comme dirait Fernand Raynaud, le Douanier n'est pas bête, puisqu'il est Douanier. Alors, il ne va pas en rester là. Au risque de déplomber le Gwen (qui n'était toujours pas là hier puisqu'il a refait tout simplement le voyage pour voir comment ça a bien pu merder !!!), il nous restera de ce voyage ce souvenir distrayant qui nous sert à changer de sujet à chaque fois que l'on nous demande à propos du tournoi : Alors, vous avez fait quoi ?
A part raconter la vue des tribunes à 1 heure du mat pour certain, nous aurons tous l'excellente feinte : Maman, j'ai râté l'avion !
Ah, les joies d'un club. Quand on aime on compte pas...
Hier donc, le Douanier était au poste. Regonflé par quelques scéances de tir en terre écossaise, qu'il a dû accomplir en duo (tiens !) avec Garcimore, il investit la cuisine du trou sans broncher. Notre émissaire en bouc au ball-trap revient du front en grande forme malgré une présence continue sur le pré, défiant, tel un spartiate, toutes les armées rugbystiques rencontrées. Et si tel n'était pas le cas, en spartiate il aurait été traité, puisque la perte de la barbe était infligée aux soldats qui avaient fui dans un combat. Mais le Douanier conserva tous ses poils !
Et au poil, son repas le fut. Il s'essaya au risotto avec brio selon le précieux secret de cette recette de l'Italie du Nord qui réside dans sa simplicité. Dites riz en italien, et il vous apparaîtra un plat fumant et parfumé, le plat confort par excellence quand il fait froid, et froid, hier, il faisait. Car le pays des Lombards et des Vénitiens vit en permanence sous un nuage gris. Il fait humide et froid dans la région, au pied des Alpes, dans le corridor entre la grande montagne, les grandes rivières du nord et la mer. Si vous imaginez l'Italie comme un pays de soleil permanent, détrompez-vous et parlez-en aux Siciliens qui ont élu domicile dans la capitale économique, Milan. Car, pour en finir avec les idées reçues, le risotto est un plat milanais. Il est à la base constitué de riz, oignons, asperges et beaucoup de bouillons, le tout sous une pluie fine de parmesan. Tout autour de Milan, mais aussi de la grande plaine du Pô, les rizières s'étendent presque à l'infini. C'est un drôle de paysage et tout à fait inattendu qui n'a rien à voir avec le cliché de l'Italie montagneuse et couverte d'oliviers. Vivement notre prochain voyage qui, paraît-il, se fera dans ces parages.
Entre salade et assortiment de fromage, le risotto pu rassasier le peu de castors présents. La tarte aux framboise (!) releva l'ambiance vers une douceur sucrée et infinie. Le Douanier fut gratifié d'un 14 par un jury composé de Perdigue, La Piballe, Pepe, La Fourche, Le blogger et Loulou.
Monsieur et madame hé-ohé-matelot ont un fils, vous savez comment ils l'ont appelé ?

Ce que le Barde en dit :

Jérôme, tu le sais, les papiers périmés
Ne sont pas de bon goût pour franchir la Manche
Et je me suis réjoui que tu puisses exprimer
En terre calédonienne une juste revanche.

Au Buccleuch arms hotel, tu trouvas l’âme sœur.
Le hasard en ce monde étant chose improbable,
Il n’est pas étonnant que l’élu de ton cœur
Fit du tir au pigeon un moment mémorable.

N’imagine surtout pas l’once d’une ironie
Dans ces vers dictés par la seule émotion ;
Aphrodite toujours a pour sale manie
De dominer ses pairs en mal d’inspiration.

Et j’ai trouvé, Jérôme, dans tes travaux d’Hercule,
Dont le fruit fut si doux à nos lèvres gourmandes,
La douceur ineffable des tendres campanules
Ces fleurs de la passion que le soleil quémande.

Ah ! la touche italienne qui enchante le monde !
Ah ! la pâte pétrie par les mains de l’artiste !
Que dieu te reconnaisse, que sa bonté abonde
Et qu’il n’oublie jamais de te mettre sur ses listes.

23 mai 2007

Le cuistot de la semaine à quatre mains

Ils sont pas mignons tous les deux ? Il y a des gens comme ça qui ne peuvent faire les choses qu'en duo, façon " je te tiens, tu me tiens par la barbichette... ". Un duo — ou duet (en anglais) — est tout d'abord un ensemble musical composé de deux musiciens ou de deux groupes de musiciens, c'est-à-dire, deux pupitres. Par exemple, un groupe de deux chanteurs forme un duo : Stone et Charden, Sonny and Cher, etc. Mais des duos, on en trouve aussi dans d'autres disciplines et les exemples n'en manquent pas : Starsky et Hutch, Tom et Jerry, Astérix et Obélix, Bataille et Fontaine, Roland et Larqué, Blake et Mortimer et même, Black et Decker. Nous, aux Archiball, on a donc Le Barde et Hamilton. Ils se retrouvent tous les ans à la même occasion, aussi régulièrement qu'un couple de manchots empereurs destinés à une parfaite monogamie, pour nous concocter un repas à quatre mains. Que l'on ne s'étonne point, chez les castors, la fidélité est la règle d'or et ils en sont les champions, à tel point que si le mâle est stérile, sa compagne se passera de toute procréation, en gros, de sexe !!!
N'envisagez surtout pas d'aller mettre votre couple à ce genre d'épreuve, vous risquez de prendre un vieux retour de manivelle. Faut pas pousser mémé dans les orties, non plus !
Bien qu'une fidélité nécessite au préalable un engagement, il se peut que celui-ci soit implicite en amitié, ce qui peut d’ailleurs être source de malentendu. Mais rassurons d'emblée notre duo, nous allons pas tomber dans ce panneau, n'est-ce pas ? Que ce soit en amitié ou en amour, ou encore dans le serment de fidélité d’un vassal à son suzerain – comme peut l'être l'écuyer Jacquouille la Fripouille à l'égard de son seigneur Godefroy, comte de Montmirail –, on ne peut en toute rigueur dire d’une personne qu'elle est fidèle que si elle s'est au préalable engagée à respecter une promesse. Surtout que, parfois, le bouchon est poussé bien loin : Jésus affirme que « quiconque regarde une femme pour la désirer a déjà commis, dans son cœur, l’adultère avec elle ». Hein, ça jette tout de suite un froid !
Alors, dans cette logique, nos inséparables nous ont donné rendez-vous au lendemain d'un week-end éprouvant en Écosse (sur lequel on reviendra plus tard). Bien que de retour d'une mission, beaucoup ont répondu présent pour retrouver enfin notre bonne vieille gastronomie locale si appréciable après les haggis, koslow et autres baked beans.
Séquence fraîcheur : radis, concombre à la crème, et salade mesclun, avec quelques pavés de grattons en guise d'intrus dans un si bel assemblage de verdure où les castors broutèrent à souhait.
Séquence originale : ragoût (sic) de boulettes (re-sic) à l'asperge, patates et navets. Y a pas à tortiller, c'était étonnant ! On aurait voulu y retourner mais non : yapukeduju. Alors on a bu le jus.
Séquence salade-de-fruit-jolie-jolie : fraises, framboises, pommes... en salade. Si celui qui se dit qu'avec 5 fruits et 5 légumes on a la santé, n'est pas content, c'est qu'il est jamais content.
Pour ce tandem, une salade composée du Général, Eric Léo, Le Prof, Jacky, Jean-Jacques V. et Titi fait le jury du jour, pour lâcher un 14. Après ça, quelques tournées de bières avant d'aller faire un pipi qui asperge et qui sent l'asperge.

Pour le poème, c'est Perdigue qui régale :

Ah putain !!!
Que peut-on faire,
Face à nos Pères
Comme des nains.

S'ingénier
À imiter,
À parodier,
À respecter.

Face à ces deux gueules sages,
On ne peut que rester coi,
Face au creuset où l'on festoy,
Concocté sans ambages.

À Hamilton,
L'Argentique aux passes irréelles,
Le Respect par milliards de pixels,
Au Barde,
À la bave verte, enrage,
Gratte moult pages.

Un couple comme ça,
Affrontant la tablée,
Au Castor dépité,
Peut redonner la Foi.

Car Sachez, Braves Guerriers,
Que "l"Homogamie" aux fourneaux,
N'est pas une enfilade de tourtereaux,
Mais des Maîtres queues à votre chevet.

17 mai 2007

Voyage en Ecosse, en attendant !


Un film réalisé avec le concours des avants de l'UNION SBCABBG (A vos souhaits !), metteur en scène : Hervé (notre Amélie à tous).

Un film réalisé avec le concours des meilleurs !

12 mai 2007

Le cuistot de la semaine et son côté rabelaisien

Bonne nouvelle pour tous ceux qui ont raté le cassoulet : Il n'y avait pas de cassoulet ! C'était bidon.
Ah, ça va ! si on peut plus rigoler !!! Ok, on a fait de la désinformation, c'est à la mode, non ? Y en a qui ont pris la tête du pays comme ça, et la nôtre avec... Crier aussitôt aux petites combines, vous perdez la tête ! C'était pour rire, pour rire et chansons. A ce propos, on lui a dit à l'autre que c'était pas au Loto qu'il a gagné pour se payer une suite dans un palace et une semaine sur un yacht ? Non, c'est bon, c'est bon, stop, on en parle plus... Faut peut-être lui réserver un appartement chez Hariri, à la vitesse où il va, il va plus lui rester un kopek pour se payer un appart... Ouais, c'est bon, c'est bon, on arrête...
Et la photo ! Quelle photo ? Ah, la photo. Eh ben elle truquée la photo, c'est la tête à Bonnet sur les épaules d'un ex-toulousain, Alain (qui n'a même pas reconnu sa chemise !). Bien sûr que c'est possible, y en a qui prennent 10 cm comme ça ! Oula, c'est bon, on a dit qu'on en parlait plus. Promis, juré, craché. Allez, on va s'aimer...

Revenons à nos moutons et parlons donc du repas d'Alain-Charles, il manquait plus que Clinton mais il paraît qu'il a quitté la région dès samedi soir après un repas dans une grande propriété viticole du Bordelais avant une partie de golf avec des amis. Savait-il qu'Alain-Charles faisait son repas au trou ? A mon avis non. Sinon, je suis sûr qu'il s'y serait rendu avec sa copine algérienne, non, pas Rachida Dati (oups, pardon), mais Monica... Si, bien sûr qu'elle est algérienne Monica, puisqu'elle fait des pipes qu'à Bill (entendez kabile, plus facile à raconter qu'à écrire !).
Dans la famille Vannier, moi je veux le père. C'est vrai, j'aurais aimé avoir un père comme Alain-Charles. Un père qui pète, qui rote et qui montre son cul ! Bon, maman doit porter des boules-quiesse toute la journée tellement il parle fort. Mais qu'est ce qu'on doit rire avec un papa pareil et, comme disait Rabelais, une journée sans rire est une journée perdue. Alors, c'est tout bénéf. C'est vrai qu'il parle fort, même ses messages par mail sont souvent écrits en majuscule, genre si t'as pas compris, c'est que t'es sourd. Un vrai Bonhomme à l’appétit insatiable, tous appétits confondus et il a pas peur de s'essuyer aux rideaux même si ça fait hurler sa partenaire. De toutes les façons il est crie plus fort. Gargantua à côté ferait mieux de jouer le Petit-Poucet. Mais de Gargantua, Alain-Charles a retenu l'extraordinaire devise : « Fay ce que vouldras », un adage prônant le libre arbitre entre le vice et la vertu. C'est pas pour rien que le vieux 4 est né en Mai – où il est conseillé de faire ce qui te plaît –, un 15 mai, il y a 55 ans.
55 ans ! Pour fêter ça, on va pas se sentir le cul. On attaque tout de suite avec une entrée nordique : saumon fumé et rollmops. Coquin Alain-Charles, il commence par un clin d'œil à notre prochain déplacement. L'occasion de rappeler qu'il faut être jeudi 17 à 14 h à l'aéroport de Mérignac avec un passeport valide OU une carte d'identité valide elle aussi. Voilà, c'est dit.
La suite est une spécialité de Marcheprime, un porc cuisiné à l'orange avec un riz cuisiné à l'eau. Simple et efficace, tout Alain-Charles est là. Pour la quantité, autant qu'on était, il fallait pas se plaindre. Alors on y est retourné deux fois. Et le fromage basque est arrivé coquet avec sa confiture de cerises avant la salade de fruits survitaminée aux fruits secs. Le lancer d'assiettes fut ravageur, Alain-Charles quoi !
Vint ensuite le délicieux discours du Président. On va pas vous le refaire, mais des nouvelles de Jean-Philippe qui est sorti de l'hôpital, le point sur les assurances du style ayez-les-vôtres-c'est-beaucoup-mieux.
Sur la lancer des 55 ans, on a réclamé « à boyre », le fils de Grandgousier nous servit le champagne, la bise et le Joyeux-anniversaire. Alors, on va pas chipoter. Un repas d'anniversaire ne se note pas. S'il faut dire quelque chose, disons plutôt : Pourvu que ça dure et qu'elle reste dure !
Pour finir, désolé encore pour l'histoire du faux-repas et du faux-cassoulet, précisons que Bonnet n'y est pour rien. Après tout, vaut mieux avoir l'air con avec une mauvaise blague plutôt que d'être gros, moche, lesbienne et gagner l'Eurovision. On ne le refera plus ! Promis, juré, craché. De toutes les façons, on se casse, le 16 on quitte la chiraquie, le 17 on est en Ecosse. Et si on faisait l'amour avant de nous dire adieu ?


Ce que le Barde en dit :

J’ai oublié Vannier, je ne m’en remets pas,
Oublié Alain-Charles et ses vertus complices,
Oublié le chant âpre achevant un repas
Où la fibre ibérique n’est jamais artifice.

Serait-ce par remord des passes avortées ?
Toi le fils adoptif de la belle Mandragone
Tu te souviens encore de mon peu de piété,
Tu m’en veux, je le sais, mais il y a maldonne.

Je te revois lancé intrépide et farouche
Attendant de mes mains l’offrande désirée,
Me voilà foudroyé par la grâce un peu louche
D’une mule muée en un pur sang de souche.

De ballon, il n’eut point et il demeura coi
M’admonestant sans fin pour mon peu d’altruisme
Et je dois bien admettre qu’il était dans son droit
Mais comme tout un chacun je ne suis pas de bois.

Je ne vais pas poursuivre sur la voie du remords
Mais dis-moi Alain-Charles, une simple question
Pourquoi avoir choisi AVA comme fleuron ?
Est-ce à Ava Gardner que tu liais ton sort ?

Si tel était le cas, quel amant étais-tu ?
Le petit Sinatra le crooner mafieux
Ou bien Mickey Rooney au sourire malicieux ?
Mais va pour Dominguin, que tu portes aux nues.

09 mai 2007

Le cuistot de la semaine a tout donné

Tout a commencé avec un Pure Malte en apéro, tournée générale, avec tellement de glaçons qu'on en avait froid dans le dos ! Il est là, jouasse comme un Enrico Massias, rebel comme un Faudel, chaleureux comme une Mireille Mathieu. Une pile Wonder à côté ressemble à Balladur. Il t'a mis une ambiance dans le trou, on se serait cru au Fouquet's après une victoire en finale le temps de se mettre en jambe pour un after à la Concorde. En attendant demain, et demain sera un autre jour. Ah que oui ! Ah que coucou ! Ah que coucouroucoucou, Paloooooomaaaa !
Bref, l'affaire commence fort. Pas d'entrée ! Le genre "on va fluncher !". On va passer tout de suite à la résistance, le plat de résistance. Philou comme un filou, il nous sert le cassoulet. Un cassoulet d'une ville plus rose que jamais. Des fayots en veux-tu-en-voilà, pleins de saucisses au point de ne plus savoir où poser son cul sur un air de "Fééééééééééééésons l'amour, avant de nous dire adieu !". D'accord, l'ambiance était difficile à tenir avec quelques castors échappés d'un pont du 8 mai aussi chiant qu'un pont de yacht en teck, sauf que l'occasion de se regarder dans les blancs des yeux était trop belle, le temps d'apprécier un gommage facial en échange d'un toucher rectal. Le dernier fera sans doute des émules surtout par les temps qui courent, histoire de vérifier qu'on est toujours intact. Mais pas de soucis, ça va passer, ça fait un peu mal au début mais après ça peut durer 5 ans, voire 10. On n'y verra que du feu pendant que certains flambent. Faut dire que mettre en face une femme fatale fut fatal pour toute la clique, c'est plus un parti, c'est un cimetière d'éléphants.
Aussitôt le cassoulet ingurgité que les pets fusèrent mettant à mal cette ambiance cozy dans laquelle on s'était vautré. Les uns et les autres laissaient chanter leurs pots d'échappement au point d'entonner tous en cœur : Va donc, va donc chez Steevie ! Un dégazage en force jusqu'à l'arrivée du Clafoutis. Un Clafoutis aussi bon qu'un clafoutage de gueule en campagne ! Là, si t'es pas plombé, c'est que t'as lâché le cigare dans les chiottes. Mais bon, on tiendra jusqu'au bout.
Pour composer un jury, il faut prendre tout le monde même le cuistot. Alors, pas de jury. Comme le club lui a beaucoup donné et qu'il est prêt maintenant à tout lui rendre, on décrète un 18, on s'en fout, c'est exonéré de charges.

Ce que le Barde en dit :

Nous étions bien au trou en ce mardi huit mai
L’assemblée clairsemée faute de combattants
Put se gaver la panse et libérer des vents
Au cassoulet chantant du petit père Bonnet

Que n’avez-vous trempé vos lèvres dans l’offrande
D’un toulousain rompu aux excès de son cru
Et de vos flatulences sur vos linges écrus
Laissé traces enfin et passé la commande

Bonnet est grand, vous dis-je, aux portes de l’été
Osez le cassoulet est un acte rebelle
Qui vous remet d’aplomb et vous remet en selle
Lorsque le vent du soir se fait un peu frisquet

Non content des lourdeurs du plat qu’il affectionne
Notre homme se permit de conclure l’office
D’un clafoutis superbe, généreux, subreptice
Et nous n’en pouvions mais et nous étions atones

Une telle opulence méritait l’ovation
Et le jury repu, asphyxié, sans recul
Le gratifia d’une note qui le mit sur le cul
Et Bonnet chancelant s’affala sur son fion

05 mai 2007

4 mai à Libourne : Jean-Philippe a la tête dure

Après son accident à Libourne, Jean-Philippe S., qui a eu un trauma crânien et 20 minutes de coma, va beaucoup mieux. Il est sorti des soins intensifs et se repose dans une chambre à l'hôpital de Pellegrin. Sa voix au téléphone laisse penser qu'il a retrouvé tous ses esprits et devrait sortir à la fin de la semaine. Bonne nouvelle !